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Charlène de l’association Adoption et rapatriement des chiens et chats d'Europe (ARCCE) sollicite notre aide pour sauver le refuge de Mira pour laquelle elle œuvre au rapatriement des animaux du Maroc à la France.
« Habituellement, j’aide Mira et son mari pour le rapatriement des animaux en France. Je les aide notamment à mettre en ordre les dossiers sanitaires des chiens avant leur départ et je suis en lien avec les fournisseurs marocains pour l’alimentation des animaux au refuge.
Mais le refuge de Mira a plus que jamais besoin d’aide, elle manque cruellement de moyens et ne parvient plus à nourrir tous les animaux »
La situation est tellement préoccupante qu’ils sont très inquiets de ne plus pouvoir nourrir leurs protégés, qui ont déjà tellement souffert.
Si nous ne les aidons pas, ce sont plus de 300 animaux qui sont en danger.
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Nous devons faire vite ! Car il n’y a déjà presque plus de croquettes !
Voici l’histoire de la création de l’association de Mira :
Mira a toujours eu un amour inconditionnel pour tous les animaux bien qu’elle habite dans un pays où la majorité des individus considère l’animal plus comme un parasite ou un outil de travail qu’un compagnon de vie.
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Mira accueillie par les chiens du refuge
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Cette passion, cet amour pour les animaux, Mira l’a communiquée petit à petit à son mari, Anas.
Ainsi, le couple a commencé à sauver et à mettre en sécurité quelques chats et chiens dans leur petit appartement de 70 m² pendant quelques années avant de créer leur propre refuge afin de pouvoir accueillir davantage de protégés.
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Véritablement touchés par la grande détresse de tous ces animaux errants, Mira et Anas ont fini par accueillir de plus en plus d’animaux comme des chiens et chats percutés en très grand nombre sur les routes ou encore des animaux souffrant d’actes de cruauté et de maltraitance.
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Malheureusement, le sauvetage de toutes ces petites victimes déplaît fortement aux voisins du couple qui n’hésitent pas à menacer la petite famille et leurs enfants. Des actes malveillants ont également été recensés auprès de leurs animaux.
En effet, la plupart des gens n’ont pas été éduqués avec l’idée qu’un animal soit bien plus qu’un outil de travail ou comme un nuisible.
La présence de tous ces animaux dérange et le voisinage de Mira et d’Anas a plus d’une fois essayé de faire fermer le refuge en s’en prenant directement à leurs petits protégés.
Plus d’une fois l’association a dû faire face à des dizaines d’animaux empoisonnés.
Elle ne compte plus également les intrusions où des individus s’immiscent au sein du refuge pour voler leurs animaux ou les blesser et les tuer afin de menacer Mira et son mari et leur faire comprendre qu’ils ne sont pas les bienvenus…
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Cette atmosphère est pesante et est un stress permanent pour le couple qui tente de prémunir au mieux ses protégés de toute cette cruauté et de cette malfaisance.
Mira n’a pas hésité à déménager et à trouver un endroit plus sûr pour ses animaux.
Mais à chaque fois, c’est la même histoire pour le refuge, les animaux ne sont pas tolérés par le voisinage et les actes malveillants sont toujours plus nombreux.
La situation était tellement critique, que Mira et Anas ont dû déménager plus de 7 fois pour assurer leur sécurité et celle de leurs protégés, ce qui a créé un trou budgétaire conséquent pour l’association.
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Depuis, Mira et Anas ont réussi à trouver un endroit adéquat pour leur refuge à El Jadida, dans la région de Casablanca, qui leur permet de mettre en sécurité tout ce petit monde.
Actuellement, le refuge compte 200 chiens, 100 chats et quelques équidés.
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Aujourd’hui l’association de Mira se retrouve dans une difficulté financière suite à ces nombreux déménagements, sans compter le loyer à payer du refuge, l’achat de nourriture à distribuer pour les 300 animaux, les différents soins engagés auprès de ses petits protégés et les arrivées toujours plus nombreuses d’animaux…
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Comme l’arrivée très récente et urgente de 23 chiens en détresse.
A Settat, ce jeudi 27 mai, plusieurs chiens errants ont été capturés par la fourrière en vue de leur élimination.
Sans Mira, ces 23 loulous de fourrières seraient déjà morts à l’heure actuelle.
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Après plusieurs tentatives de joindre le président de la commune de Settat, Mira, grâce à l’aide d’un journaliste connu au Maroc, a réussi à le contacter afin de demander l’arrêt du massacre en cours des chiens en fourrière.
Grâce à la combativité de Mira, le président de la commune de Settat a alors ordonné l’arrêt du massacre de ces chiens capturés.
En contrepartie l’association de Mira a dû s’engager à accueillir les pauvres petites victimes dans son refuge.
Le président a fait emmener ces chiens en camion au refuge afin qu’ils y trouvent sécurité et nourriture.
« Il s’agit alors de 23 chiens supplémentaires à nourrir et à soigner, c’est un nombre énorme pour notre refuge déjà en déficit financier… Mais comment fermer les yeux face à ces tragédies qui se passent chaque jour au Maroc ? »
Tout s’enchaîne alors pour le refuge qui souffre d’énormes difficultés pour nourrir la totalité des animaux mais également payer les soins de tous ces loulous…
Mira connaît également quelques soucis de santé qui l’empêche d’agir sur tous les fronts avec son mari à l’association.
Face aux problèmes de santé de Mira, Anas s’occupe alors de toutes les tâches à effectuer au refuge : soins des animaux, alimentation, nettoyages des espaces (box, écuries, chatterie et prairies) mais il n’y arrive plus, cela lui demande un travail colossal.
Il est à bout de forces et aimerait avoir une aide supplémentaire.
Le refuge se trouve donc en très grand danger.
Leurs finances sont au plus bas, le couple ne peut plus nourrir convenablement leurs protégés. Ils ont été contraints de rationner l’alimentation afin que chacun puisse manger à sa faim.
Sans nourriture, des bagarres entre les animaux vont éclater...
« Les plus faibles n’y résisteront pas. C’est triste à dire, mais dès lors qu’il n’y a plus suffisamment de nourriture, les animaux sont en mode survie et n’hésitent pas à attaquer leurs congénères pour manger ».
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Sans aide extérieure, l’association de Mira devra définitivement fermer.
Mais que vont devenir ces animaux ?
Seule possibilité pour eux de vivre, les remettre dans la rue afin qu'ils essaient de survivre par leurs propres moyens.
Mais beaucoup n’y résisteront pas vu leur handicap ou leur jeune âge.
Avec une population de chiens errants toujours en croissance, se comptant en millions, le Maroc effectue des opérations d’abattage massif…
Les chiens sont alors abattus au fusil ou empoisonnés à chaque mi-saison et le plus souvent avant les périodes où l’arrivée des touristes est la plus forte.
Des stérilisations pourraient changer la donne quant à la situation au Maroc, des programmes ont déjà été lancés dans certaines villes du pays.
Malheureusement les opérations sont coûteuses, prennent beaucoup plus de temps qu’escompté avec le trappage de tous les animaux et demandent un travail fastidieux.
Les programmes de stérilisation sont très vite abandonnés et laisse alors place aux manières plus rapide, plus simple, et moins coûteuse : donner la mort à tous ces animaux errants.
« Si je ne peux plus payer le loyer, les soins et la nourriture de mes animaux, je serai obligée de les abandonner, mes animaux vont se retrouver à la rue et vont revivre le même cauchemar avant que je les récupère et les abrite au refuge… Ils ne sauront plus vivre dans la rue après avoir connu la sécurité. Surtout les handicapés, les chiots et chatons, les malades... Jamais ils ne sauront trouver leur nourriture dans la rue ».
Si les protégés de l’association de Mira sont livrés à eux-mêmes, ils n’ont aucune chance face à la cruauté humaine…
Que deviendra alors Doria ?
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Doria avant / après
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Cette petite chienne errante qui avait été trouvée par Mira dans un très mauvais état.
La gale l’avait transformée ! Son poil était inexistant, et sa peau n’était plus protégée du soleil ce qui lui a causé de nombreuses brûlures.
Après des mois de soins, la louloute est méconnaissable !
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Leya avant / après
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Ou encore Leya, signalée en mai 2020 à Mira, elle avait été percutée par une voiture.
Une personne pensant bien faire et touchée par son état de santé, lui avait plâtré les pattes avant. Ce geste a empiré son état malgré la bonne attention de la personne.
Le vétérinaire a heureusement pu sauver ses pattes, elle est aujourd’hui en bonne santé.
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Youki
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Youki errait dans les rues de Rahma au Maroc. Il a été agressé sauvagement par des individus malveillants qui haïssent les animaux…
Le pauvre chien a été retrouvé avec de graves plaies sanguinolentes aux pattes et à la tête.
Pris en charge à temps, Youki a pu être soigné et vit depuis au refuge de Mira.
Au Maroc, beaucoup de chiens comme Youki vivent chaque jour la traumatisante expérience d’actes malveillants et inhumains.
Si le petit Youki est livré à lui-même, il ne sera plus en sécurité et pourrait à nouveau faire la rencontre de bourreaux…
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Prince
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Prince quant à lui ne peut pas être remis en liberté, si le refuge ferme, le devenir de cet adorable loulou est incertain…
Issu d’un sauvetage de 2019, il a été retrouvé dans un piteux état et avait à l’époque 9 mois.
Ses deux pattes arrière étaient broyées et infectées.
Prince a dû être amputé de ses deux pattes.
Il est maintenant en bonne santé, mais le loulou est toujours en attente d’un chariot pour pouvoir se déplacer convenablement.
Mira et Anas font tout leur possible pour sauver ces êtres sans défense, mais la réalité les rattrape parfois…
Comme l’histoire du « petit chien au museau ».
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Signalé le 22 février 2021, ce petit chien a été récupéré en urgence le lendemain.
Le pauvre toutou avait une très grave infection au museau suite aux multiples coups portés par son maître.
Le chien a été jeté dans la rue où le pauvre animal a continué de souffrir.
L’infection s’était propagée dans tout le museau. Il ne savait plus se nourrir ni même boire quand Mira et Anas l’ont récupéré.
Le vétérinaire pensait qu’il pourrait guérir.
Il l’a donc opéré, prescrit un traitement médicamenteux et revu pour une visite de contrôle.
Le chien au museau a mangé à nouveau et a repris un peu de force.
Mais malgré tous les bons soins reçus, à bout de forces, le petit loulou sans nom à rejoint les étoiles le 30 mars dernier.
« Notre seule consolation, c’est qu’il n’est pas mort abandonné dans les rues dans d’horribles souffrances ».
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Gus
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Gus a été sauvé en février 2020, il n’avait que 2 ou 3 semaines.
On l’avait jeté dans un coin du bâtiment de l’entreprise où Mira se rendait.
Mira l’a ramené chez elle et elle l’a nourri au biberon.
C’était un chiot tellement attachant qu’il était devenu la petite mascotte du refuge.
Beaucoup de donateurs suivaient les aventures du petit Gus. Malheureusement, Mira a été gravement malade plusieurs mois depuis ce début d’année 2021, et Anas a eu énormément de travail au refuge.
A lui seul, il n’a pas su nettoyer parfaitement tous les espaces extérieurs du refuge laissant quelques herbes hautes pousser à hauteur d’homme.
Malheureusement, en avril 2021, un serpent ou un scorpion s’est introduit dans le refuge...
Gus a été piqué et est décédé à la suite de cette piqûre… La petite mascotte du refuge a rejoint les étoiles, laissant beaucoup de personnes dans la peine.
Et que dire de Bandit, ce petit un chat qui était recouvert entièrement de mazout, après être tombé dans un puits… Le liquide avait pénétré au fond de ses yeux, dans ses narines, dans ses poumons.
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Regardez aujourd’hui comme il est beau !
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Charlène a peur pour Mira et Anas qui ont du mal à joindre les deux bouts.
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Récemment, Mira a dû venir en aide à une petite mule.
Elle agonisait, seule, par terre depuis plus de 5 jours…
Une situation à peine croyable.
Les deux jambes avant cassées en deux, les os apparents, les mouches grignotant sa chair…
Mira a tout essayé pour l’aider, en vain…
Il n’y avait plus rien à faire, la petite mule a dû être euthanasiée.
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Mira s’occupe également quotidiennement des animaux de son refuge qu’elle appelle les « invisibles » et qui sont tous les animaux au sujet desquels elle ne communique pas, mais qui sont tout aussi importants.
Ils nécessitent beaucoup d'énergie et d’attention.
Comme le petit chaton Candy qui est arrivé le 26 mai dernier au refuge.
Ou plutôt, que l’on a balancé dans l’enclos, réservé aux chiens du refuge…
« Candy aurait pu mourir, tué par les chiens. Mais ce fut une extraordinaire surprise, les chiens du refuge l'ont gardé en sécurité jusqu'à mon arrivée.
Par ce geste, on se rend bien compte que malgré leur parcours et leurs conditions de vie difficiles, les animaux ont une belle âme, beaucoup plus belle que celle de certains humains… »
Alors Mira doit financer à nouveau du lait maternisé pour ce petit bébé comme beaucoup d’autres qu’elle récupère mais également lui prodiguer des soins et des traitements pour le remettre sur patte ainsi que beaucoup d’amour.
Ou encore, ce malheureux chien galeux et errant se traîne dans les rues, à la merci des habitants qui le pourchassent car ils croient qu'il a la rage... Maltraité depuis longtemps, et très malade suite à la gale, il est agressif et essaie de mordre les gens qui l’approchent…
« Un monsieur, touché par son triste état vient de me le signaler...il va devoir être soigné en urgence par le vétérinaire…
Comme vous le savez, je peine déjà à nourrir tous les animaux du refuge et à faire face au paiement du loyer…
Pour pouvoir faire soigner ce malheureux, j’ai besoin d'aide… Je ne peux pas me permettre d’avoir une épidémie de gale dans mon refuge… »
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Il y a aussi ce pauvre chat, trouvé il y a quelques jours par Mira.
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« Une personne vient de m'envoyer une demande pour ce chat aveugle, qui vit dans la rue, et qui vient de se faire percuter par un véhicule à Casablanca...
Sous le choc, le malheureux a un de ses yeux sorti de son orbite...il est vraiment très mal en point et doit être vu en urgence par le vétérinaire.
Nos caisses sont vides pour le moment,… nous sommes dans l'impossibilité de payer ses soins également »
Il y a aussi cette pauvre chienne, qui se trainait sur 2 pattes, dehors…
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… elle est très traumatisée et doit absolument être vue par notre vétérinaire, vu son gros handicap, mais nous n’avons pas les moyens de payer le vétérinaire »
Vous l’avez compris, il n’y a aucun répit. Les urgences se succèdent chaque au refuge de Mira. Nous devons à tout prix les aider.
« La Covid 19 a entraîné une grosse crise économique qui affecte énormément notre refuge.
Malgré tout, nous continuons à sauver des animaux, car le nombre d’abandons est en hausse.
Même les animaux qui ont eu une famille sont abandonnés car leur maître ne savent plus les nourrir ni les soigner...
Chaque jour, ce sont plusieurs demandes d'aides qui nous sont adressées pour des animaux, la plupart du temps, accidentés, maltraités ou malades.
Chaque jour, en arrivant au refuge, nous trouvons des animaux qui ont été jetés par-dessus la clôture.
De plus, à cause des problèmes financiers engendrés par cette crise, le nombre d'adoptions est en baisse au Maroc et la fermeture des frontières a gelé complètement les adoptions à l'étranger…
Malgré notre bonne volonté à sauver, soigner et nourrir les animaux, nous avons atteint nos limites.
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Chaque jour est un nouveau combat pour trouver de quoi nourrir les animaux du refuge.
Nos animaux dépendent totalement de vos dons car notre refuge, bien que reconnu, ne perçoit ni subventions de l’état ni d’aides d’associations ou fondations.
Nous vous supplions de nous soutenir davantage pour qu’on puisse continuer à nourrir tous les animaux qui sont abrités dans notre refuge.
Nous remercions les personnes qui participent à notre cagnotte nourriture et nous espérons que notre cri de détresse sera entendu par beaucoup d’autres personnes…
Même quelques euros sont précieux pour nos animaux ! »
Si nous n’aidons pas le refuge à nourrir ce petit monde, ce sont plus de 300 animaux qui risquent de mourir petit à petit de faim.
L’association a besoin d’aide pour acheter 3 tonnes des croquettes qui permettront continuer à nourrir ses animaux dès le mois prochain.
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5 000 euros sont nécessaires pour cela
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Vos dons et appels du cœur aideront l’association ARCCE à livrer 3 tonnes de croquettes à l’association de Mira au Maroc et permettre à plus de 300 animaux de manger enfin à leur faim.
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AnimauxMerci pour ces 300 animaux !
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