Merci pour ces 58 chats !

C’est un appel de détresse que l’association Capucine et Compagnie nous lance.

Déborah et son équipe de bénévoles se retrouvent dans une impasse. Ils ne savent plus comment gérer cette situation, et la crise sanitaire n’a rien arrangé…

Elle reçoit des appels constamment pour des abandons, des animaux retrouvés blessés, accidentés, des particuliers qui découvrent dans leur jardin des chats affamés, en manque de soins, des animaux errants, cela n’en finit plus !

« Entre l’année 2020 et cette année 2021, le nombre de prise en charge a explosé ! »

Si Déborah et son équipe arrivent à faire adopter les chatons, les chats adultes quant à eux sont laissés pour compte et n’intéressent pas.

Et le manque de place pour recueillir de nouveaux protéger se fait sentir.

« Au total nous avons 20 chats au sein de notre association. Nous les nourrissons, nous leur administrons leurs traitements, leurs soins, chaque jour.

Nous savons qu’une partie d’entre eux ne pourront pas être adoptés : trop vieux, trop malades, trop de contraintes. Alors nous les gardons auprès de nous et leur donnons tout l’amour dont ils ont besoin, en plus de leurs soins quotidiens ».

Capucine et Cie est sur tous les fronts.

Son objectif ? Améliorer le sort des animaux, les protéger mais également aider les maîtres en difficulté, de lutter contre les abandons et la prolifération de plus en plus importante des chats errants. L’équipe de bénévoles, trappe, soigne et nourrit tout ce petit monde autant de fois qu’elle peut.

Ces dernières années, elle pouvait encore compter sur l’aide d’autres associations et intervenait par secteur, mais la situation actuelle a complètement changé leur organisation. Les associations qui les aidaient ont été obligées d’arrêter leurs interventions faute de places, mais aussi de moyens.

« Nous devons réaliser énormément d’interventions, mais maintenant seuls sur le terrain, nous rencontrons d’importantes difficultés. Et les dons s’amoindrissent, et ne nous permettent pas de venir en aide comme nous le voudrions, ou de financer des urgences vétérinaires…. »

En ce moment, une zone industrielle à Wissous, dans l’Essonne, demande une attention particulière à Déborah et son équipe.

« Les habitants nous appellent sans arrêt, de nombreux chats ont été aperçus, notamment beaucoup de chatons. Au total, ce sont 28 femelles qui ont été trouvée sur le site. Certaines sont pleines, d’autres avec leurs chatons. C’est la période ! Si nous ne stérilisons pas ces 28 minettes, les chats vont proliférer et deviendront des nuisibles pour les habitants qui n’en peuvent déjà plus…

Un chasseur à proximité a déjà essayé d’empoisonner les chats avec de la mort aux rats ! Nous avons peur pour eux… Le seul moyen de limiter tout ceci est la stérilisation.

On retrouve aussi des chats par dizaines dans les jardins, qui cherchent à se nourrir.

Nous avons 10 chats errants à qui l’on doit apporter de l’aide.  Ils ont sûrement coryza.

L'un des chats a été trappé et soigné à plusieurs reprises, puis relâché, car il est malheureusement trop sauvage, mais son état ne s'améliore pas.

Nous devons lui faire un scanner des sinus afin de comprendre ce qu'il a.

Parmi eux, il y a aussi Mouchka, une femelle qui souffre de convulsions.

Nous ne pouvons pas la laisser dans cet état, dehors elle ne pourra pas survivre bien longtemps. Trappée, elle pourrait passer un scanner pour son cerveau afin que l’on puisse comprendre ce qu’elle a.

Il y a aussi des chatons que l’on souhaiterait recueillir afin de les soigner, les stériliser et les proposer à l’adoption.

Certains sont malades, et il est fort possible que des chatons soient les fruits de consanguinité…

Nous avons ensuite récupéré des chats sur un site de nourrissage, qui vivaient près d'une déchetterie, beaucoup sont morts là-bas.

A la recherche de nourriture, ils vont partout et malheureusement, certains ont été trouvés morts, dans les bacs à déchets.

Comble de l'horreur, certains chats ont été broyés !

Cela a été un choc pour les employés de la déchetterie, mais aussi pour nous.

Nous avons récupérés les chats en urgence mais ils sont très craintifs, non sociabilisés et traumatisés.

Il ne nous est pas encore possible de les caresser, pour les emmener chez le vétérinaire c'est vraiment sportif,  et cela nous prend du temps pour parvenir à les mettre en cage.

Pour nous, c’est vraiment une période où tout s’enchaîne ! 

Et nous devons aussi continuer à soigner nos 20 chats du refuge et continuer à les nourrir !

Les factures s’accumulent, le vétérinaire est à la limite de nous refuser les prochaines interventions, les aides et les dons s’amoindrissent…

Deux chats sont décédés récemment faute de soins et nous sommes très attristés.

Nous avons pensé à fermer l’association tellement nous ne parvenions pas à trouver une brèche, une lueur d’espoir ! Mais sans notre aide, les chats errants ne pourront pas être sauvés et nos animaux ont encore besoin de nous … »

Soigner, une dizaine de chats ayant les symptômes de coryza, stériliser les femelles de la zone industrielle, récupérer les chatons, les faire soigner, les déparasiter, les stériliser, en espérant ne pas découvrir d’autres maladies, l’association se retrouvent en difficulté financière pour gérer seule ces actions.

C’est pourquoi Capucine & cie se tourne vers vous, chers clicoeurs, car vous êtes leur dernier espoir ! Sans vous, Déborah et son association ne peut rien faire pour sauver ces 38 chats errants et continuer à nourrir ses 20 chats du refuge.

3 000 euros sont nécessaires pour cela

Vos dons et appels du cœur aideront l’association Capucine & Cie à financer une partie de la stérilisation des 28 femelles de la zone industrielle dans l’Essonne, soigner les 10 chats atteints de coryza et la nourriture des 20 chats du refuge.

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