Finalement, c’est bien plus grave…

Gaston avait été trouvé sur un terrain vague, non loin de l’association des Chats de Cooper. Il n’était pas seul.
Avec lui, sa sœur Simone et son frère Jules.

C’est Patricia qui les avait recueillis au sein de son association.

Il y a quelque temps, Simone, la femelle de la fratrie avait déclenché la PIF. Patricia avait pu commencer le traitement rapidement.

Tout semble aller pour le mieux.

Le problème, c’est Gaston !

Depuis quelques jours, Gaston ne va pas bien du tout.

En effet, quand Patricia les appelle, les chats de l’association se précipitent pour venir manger.

Seulement, Gaston manque à l’appel. Après quelques recherches dans la maison et les cachettes à disposition, Patricia tombe sur le chat, prostré dans un coin.

Il se cache !
Une chose est sûre, quelque chose ne tourne pas rond !
Afin d’en avoir le cœur net, Patricia décide de l’emmener chez le vétérinaire… A première vue, cela ressemble à une grosse hépatite. Tous les symptômes collent :
perte d’appétit, baisse de vigueur et tendance à s’éloigner du groupe.

Seules les analyses de Gaston valideront cette hypothèse. Pour cela, il est primordial qui passe un bilan sanguin complet ainsi qu’un test PCR.

Les résultats tombent, Patricia est désemparée : ce n’est pas une hépatite, mais la vie de Gaston est bel et bien en danger.

La vétérinaire est catégorique, il s’agit d’une PIF, sous forme sèche.

Tous les indicateurs sont au rouge…

Plus discrète, mais tout aussi grave, la PIF sèche s’est développée. Pire encore, elle a déjà commencé à attaquer le pauvre Gaston.

Son foie est touché. La PIF sèche attaque et « ronge » les organes, un par un.

Patricia n’a pas une seconde à perdre, si Gaston veut vivre, il lui faut commencer le traitement le plus rapidement possible !

A l’association, Gaston n’est pas le seul atteint de cette terrible maladie et le traitement coûte cher. Malheureusement, Patricia ne dispose pas d’assez de fioles.

Quand un chat est traité pour cette maladie, il est primordial de respecter le protocole : 84 jours de traitement et AUCUN MANQUEMENT. Donné à heure fixe, le simple fait de manquer une dose peut anéantir les jours de traitement déjà passés.

En distribuant les doses des autres chats à Gaston, Patricia risque de devoir reprendre à zéro les soins… Elle n’en a pas les capacités. Ni financières, ni émotionnelle…

« Je n’en peux plus. J’ai l’impression qu’il y a de plus en plus de cas de PIF. Mais qu’est-ce qu’on peut faire ? Les laisser mourir, en souffrance ? Je ne peux pas m’y résoudre. »

En plus du traitement contre la PIF, Gaston aura également besoin d’un traitement antibiotique, également par injection. Ces dernières permettront de « soulager » son foie.

Gaston a besoin de son traitement sans délais, seulement, il n’est pas commercialisé en France. Il faut donc l’importer, et cela prend du temps.

Vous comprenez donc qu’il s’agit d’une urgence !

1 613 euros sont nécessaires pour cela.

Vos dons et appels du cœur permettront à Patricia d’acheter le traitement et de le dispenser le plus rapidement à Gaston. Car pour lui, c’est vital !

Merci les Clicoeurs !

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