Offrons-lui ce cadeau, elle le mérite tant.
« Une femme, qui marche doucement avec une canne… une marche pénible, un genou défectueux, très défectueux, plus que temps de l’opérer ! Mais comme il n’y a personne pour les soins ou l’entretien des animaux, eh bien, ce n’est pas demain qu’elle se fera mettre une prothèse, donc, pour l’instant : trois pattes ! »
Christine est une personne extraordinaire.
A Noël, elle n'était pas avec ses petits-enfants, autour d’un bon repas, au coin du feu.
Elle n’a pas de famille. Mais elle a ses animaux.
Christine vit aujourd’hui dans une ferme, « une ferme des temps anciens » - comme elle dit ! - , à Palluau-sur-Indre, dans la région de Châteauroux. Elle s’y est installée, avec tous ses animaux, l’année dernière.
Avant cela, Christine, quand elle travaillait, était commerçante ambulante, dans le nord.
« J’ai arpenté les rues de Roubaix pendant 45 ans pour vendre mes poireaux et mes pommes de terre »
Quand elle est arrivée à la retraite, elle a décidé de se consacrer entièrement à la sauvegarde des animaux en détresse. L’amour pour les animaux, elle l’a depuis toujours.
« Mais toute ma vie je me suis occupée d’animaux, avec toujours tous les frais à ma charge. J’ai décidé de créer ma propre association. J’ai connu des gens très malhonnêtes dans ce milieu, vous savez. Je ne voulais plus en dépendre. Mes premiers animaux sauvés ont été des poneys maltraités. »
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L’histoire de Christine avec les animaux a commencé... en 1966
« Depuis toujours, au contact de mes parents de « cœur » chez qui j’ai été placée à l’âge de 2 ans, j’ai baigné dans l’amour des animaux, le dévouement, la compassion envers tous les malheureux quels qu’ils soient, humains ou animaux. »
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C'est en 1966 que l'histoire de Christine et de ses protégés a commencé, et plus particulièrement avec Coccinelle.
"Cette jument déjà très âgée ne pouvait plus suivre le rythme de travail de 12 heures par jour imposé par le Club hippique et devait finir à l’abattoir.
Elle fut alors achetée par ma maman, malgré le peu d’argent que nous possédions."
Cela fait maintenant plus de 50 ans que Christine donne sa vie pour s’occuper des animaux. Elle les sauve, en prend soin, les nourrit mais surtout, offre une seconde chance de vivre heureux à ces rescapés. Trop souvent, ils ont vécu de dures épreuves : maltraitance, abandon, malnutrition, torture…
Pendant de nombreuses années, Christine et ses protégés étaient installés à Wattrelos, dans le Nord de la France.
Julien Pitinome, un reporter touché par l’histoire de Christine – et que nous remercions pour les photos qu’il nous a permis d’utiliser ici ! - est allé à se rencontre à l’époque :
« Je me rends vite compte que la partie habitable de la ferme ne l’est plus trop. Elle est, comme le reste du bâtiment, donnée aux animaux. Chiens, chats, lapins et parfois quelques poules égarées y trouvent une place. »
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« J’ai été chassée du Nord…»
Forcée de vendre sa précédente maison, dont elle venait d’hériter de sa défunte sœur adoptive, elle n’a pas eu d’autre choix que de déménager.
« C’est à cause des frais de succession… Je n’ai pas de famille biologique, mais j’ai une famille de cœur, qui m’a adoptée quand j’étais enfant. Quand ma sœur est décédée, je suis devenue propriétaire de la maison où je vivais avec tous mes animaux. Et là, les impôts me sont tombés dessus. Il fallait que je paie 200 000 euros de frais de succession. Comment faire sans vendre… cette maison ! Quelle histoire, avec tous mes animaux là-bas.
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Partir loin d’ici n’est pas un choix, mais une nécessité pour la vie de mes protégés. Je ne me pardonnerais jamais de les abandonner. » Trouver un nouvel endroit où abriter tout ce petit monde ne fut pas une mince affaire…
Après six mois de recherches, un nouveau paradis est enfin trouvé. C’est à 500 kilomètres de Wattrelos que Christine et ses protégés commencent une nouvelle vie, à la Roulonnière, près de Palluau-sur-Indre, dans l’Indre-et-Loire.
Avec la vente de la maison du Nord, et après avoir payé les impôts, Christine a pu racheter la ferme où elle se trouve actuellement.
« Une ferme… enfin, une ruine à retaper ! Mais nous avions trouvé un nouveau toit »
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De longs mois sont nécessaires pour préparer l’arrivée de Christine et de ses animaux.
Certains d’entre vous se souviennent sûrement de cette histoire, puisque nous avions déjà aidé Christine sur Clic Animaux, pour financer ce déménagement aventureux.
Il faut imaginer Christine, se retrousser les manches, et se lancer dans ces travaux de rénovation, en plus du reste… « Je viens de terminer d’aménager le grenier de la ferme en chatterie. Quel chantier c’était ! J’ai compté 50 sacs de 25 kilos de gravats ! »
Chevaux, poneys, ânes, chèvres, boucs, poules, cochons, oies… voilà son quotidien. « Je n’ai que des bêtes à problèmes, sorties de mauvais traitements »
Chez Christine, les 10 chevaux ont à leur disposition 2 belles pâtures, de plus de 3,5 hectares. Ils ont également des boxes leur disposition.
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Voici Amigo, c’est un vieux cheval de 30 ans. A la suite du décès de son propriétaire sans personne pour le prendre en charge, personne n’en voulait. Il a été refusé partout en raison de son âge, et aurait fini à l’abattoir sans Christine.
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Les 10 moutons et les 25 chèvres de Christine ont également leur endroit « rien que pour eux » : une étable où ils vivent et où ils peuvent s’abriter, « surtout les moutons, qui ont besoin d’un endroit au sec. »
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Les cochons aussi ont leur abri. Voici Noé.
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Son histoire est incroyable. Il a été trouvé errant dans les rues de Wattrelos, les pattes et les oreilles abimées par le soleil. Il a été élevé au biberon par Christine, d’où son profond attachement à sa « maman » puis à Rébanne, le vieux poney, qu’il considère comme son « papa ».
Christine a 1 vache et 1 boeuf. Ils s’appellent Bijoux et Joyau.
« Ils auraient dû finir au Mc Donald’s, en beefsteak haché ! »
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Christine fait vivre également 6 chiens. 4 appartiennent à un jeune homme défavorisé, qui a été expulsé de chez lui, et que Christine, dans sa grande bonté, tient absolument à aider.
« Et puis, il y a Milla, ma vieille chienne de 16 ans. Et Mitzie, qu’on a trouvé abandonnée attachée à du fil de fer barbelé… »
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Mitzie
Il y a aussi 60 poules de batterie, qui vivent aujourd’hui libres, heureuses, grâce à Christine.
Elles ont été sauvées d’un élevage. Elles étaient enfermées dans de minuscules cages à 5 ou 6. Elles s’arrachaient les plumes entre elles, traumatisées !
« Maintenant, elles sont heureuses mes petites poules ! Elles sont en plein air dans un immense terrain ! Vous les voyez voyager d’un bout à l’autre du terrain. C’est un vrai bonheur de les voir heureuses ! »
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Malheureusement, elle doit affronter de nombreux coups durs, comme la perte de protégés pour lesquels elle avait pourtant tant donné…
« Ce merveilleux petit poney, plein d’orgueil, le plus beau de tous… Mon Coucou a arrêté de respirer !
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N’arrivant plus à se relever à cause de son arthrose déformante..., plus que douloureuse..., il a fallu que je prenne la décision que vous savez. Voilà ! Petit Coucou est parti au Ciel, à l’âge de 28 ans... Le très grave accident de sa jeunesse ne lui a pas permis de vivre vieux ! Pratiquement toujours couché, meurtri par la souffrance, en 2012 le vétérinaire donna un nouveau traitement qui lui fit retrouver une seconde vie ! Mais à l’automne, il n’a plus voulu aller en pâture avec les autres, ce qui m’a laissé penser qu’il n’avait plus la force d’être le dominant. Adieu, mon Coucou..., tu as toujours été le plus beau et là où tu es maintenant, tu as retrouvé les 6 ans que tu avais lorsque je t’ai vu pour la première fois ! »
Et Ohlala, la petite chèvre… bousculée par la chèvre dominante, le postérieur dans un petit seau d’eau… et comme elle n’a eu la force d’en sortir, elle est morte d’hypothermie. « Restée toute petite malgré ses 8 mois, elle n’avait pas de force…, une petite malheureuse »
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Et Suzie… « Ce jour, ce matin, Suzie est partie au Paradis après avoir séjourné quelques mois au Paradou. Adorable chèvre africaine, elle a rejoint Lamaguette, sa copine de 2 années.
Ma Suzie, si vieille, jetée quand le cheval à qui elle tenait compagnie a disparu. Pauvre petite Suzie, ses pattes toutes crochues, ses onglons dans un état épouvantable, que de soins en 2 ans...
Te voici partie, ma petite fille que j'aimais tant... »
Plus récemment, c’est Rosy qui est partie. Pendant le confinement…
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« Petite Rosy a succombé des suites d’une simple dispute avec Georges, à l’heure du repas !!!
Sa petite patte avant gauche l’a empêchée de se relever malgré mes efforts… Le vétérinaire n’a pas su quoi dire et a donné des calmants. Avec patience, elle fut bougée chaque jour, je lui donnais à boire et à manger mais au bout de 35 jours et surtout depuis 15 jours… toute seule, je ne pouvais assumer tous les soins à faire autour d’elle.
Je pouvais juste lui donner des pommes coupées en tranches : un cochon ne peut, logiquement, pas manger couché…
Je vous le dis, elle est morte d’une façon indigne face au confinement. Le vétérinaire n’est pas venu du jeudi, sous un quelconque prétexte, un fermier qui a l’habitude de m’aider n’a pas voulu s’arrêter !
Enfin ! La tristesse et encore et toujours le champ d’amertume… Ah que c’est dur de vivre tout ça et surtout d’être seule ! »
Pour Christine, les journées commencent tôt le matin, toujours avec le même rituel
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« Je commence toujours par aller voir Bijou mon bœuf, et sa sœur, Joyau. Ce n’est pas facile pour une vielle dame comme moi, il faut que je fasse attention de ne pas me faire écraser et piétiner ! »
A son âge, Christine a bien du mérite. Son corps résiste tant bien que mal… Elle a des prothèses de hanche, et est en attente d’une opération pour son genou, qui la fait souffrir… « Je suis une femme bionique ! »
Chaque matin, il faut nettoyer l’étable, « nettoyer les bouses tous les jours, à la main, à la brouette ! », changer le foin, leur donner à manger, remplir les abreuvoirs.
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« Il leur faut absolument une hygiène impeccable », nous explique fièrement Christine ! »
Après, c’est au tour des chevaux. Eux aussi sont des rescapés. Et beaucoup sont malades, ils demandent beaucoup de soins.
« Il y a Antoinette, qui a des problèmes aux pieds. La pauvre a été maltraitée, on ne s’est jamais occupé d’elle. Alors, elle souffre de fourbure chronique. Je lui donne des médicaments. »
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Amigo, Alphy, et Antoinette
Et puis, Caramel. « Il est diabétique de type 2. Lui aussi a été maltraité. Il n’avait jamais été vermifugé. Le pauvre est infesté de vers. Il a fallu 3 mois avant qu’il retrouve la galopade. »
Ensuite, les chèvres. « nettoyer, toujours et encore, et puis leur donner à manger »
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Ondine et son petit
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Ondine a été sauvée de l’abattoir par Christine. Elle a été nourrie et élevée au biberon plusieurs fois par jour par Christine la présidente. Ondine a mis bas un petit chevreau.
Il y a également la chatterie à gérer : les litières, les croquettes. Et les visites chez le vétérinaire.
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Loulou, Fraise, Myrtille et Moustache ont tous été sauvés par Christine. La ville de Roubaix avait mis en place un « abattoir mobile » et ces chats ont été recueillis par Christine avant qu’il ne soit trop tard !
Ils souffraient tous du coryza et ont tous été soignés. Le pauvre Loulou, quant à lui, a perdu l’usage d’un œil… Ils ont suivi Christine dans le déménagement.
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« Ces derniers mois, ce sont surtout les chats qui m’ont occasionné des soucis, et des déplacements chez le vétérinaire ».
Vaccinations, stérilisations, soins, traitements contre le coryza… Ça n’arrête jamais. « Il y a beaucoup de problèmes bucco-dentaires. »
Les journées se finissent rarement avant 22 heures pour Christine. Et parfois à 2 heures du matin, quand il y a des « extras », comme elle dit ! Et c’est comme ça chaque jour de la semaine, chaque semaine de l’année. Il n’y aucune pause, aucun répit...
« Vous savez je n’ai pas de temps pour moi. Ma vie c’est les animaux. Tous les jours, c’est la même chose. Mais je ne suis pas malheureuse, j’ai été élevée simplement. Je n’ai plus de famille, mais je suis heureuse avec mes animaux. Je ne souffre pas de la médiocrité de ma vie. Philippe lui ne va pas bien. Il a plus de problème que moi. Il a tout perdu. Mais vous savez, il m’aide quand même, et gratuitement ! » Philippe, dont Christine nous a beaucoup parlé, est une des trop rares personnes au grand cœur qui aident la pauvre Christine, et tous ses animaux « … Un homme merveilleux, si courageux, lorsque j’ai su qu’on lui avait enlevé́ son allocation RSA, sa précieuse rentrée d’une toute petite somme d’argent qui lui permet de survivre avec son chat dans un 16 m2 !
A cause de moi, vous pouvez maintenant faire connaissance de ce gars du Nord, bénévole rempli de courage jusqu’à l’os ! Des comme ça..., il n’y en a plus. Cherchez..., cherchez..., hé bien ce sera fiasco, il est unique, il n’y en a qu’un..., c’est lui ! »
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Christine et Philippe
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Les sauvetages cette année
Ça n’a pas arrêté… Cette année 2020, les cas d’abandons se sont multipliés.
Que seraient-ils devenus sans Christine ?
Ranâ, un jeune chat abandonné, trouvé dans la rue. « Nous espérons pouvoir le faire adopter, il le mérite »
Christine, nous raconte, à sa façon, l’histoire de Ranâ, jeune chat abandonné, parmi tant d’autres…
« Mon Dieu…, je n’ai pas été sage, pour que tu m’aies jeté ainsi ?
Que t’ai-je fait ?
Je t’aimais de tout mon cœur de chat … pourtant, tant que j’étais chaton, je plaisais… et maintenant que je suis un ado, oups, c’est fini ?
Dans cette rue, je meurs de peur…, je stresse…, mon regard se pose sur tous, mais toi, tu es absent !!! Où es-tu ? J’ai peur, peur de ces « caisses » bruyantes qui passent près de moi…, des regards hostiles que me jettent les humains qui me croisent…
Ah ! Une femme, le regard rempli d’amitié…, elle me regarde tendrement.
« Ah…, mon Dieu, tu as écouté mon cri, ma peur, mon angoisse… »
Merci… Merci… Merci, maintenant je n’ai plus peur… J’ai déjà un nom : « Ranâ » Petit Roy… je suis à nouveau aimé…. pour toujours »
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Simba, Pixel, Farah, Rafia, Iris : 5 chats de la même famille, ils vivaient sur un parking farouches. « Nous aurons de grandes difficultés à les faire adopter. »
Rox et Rocky, des chats errants, vivant sur un parking eux-aussi. « Ils risquaient de se faire empoisonner par des personnes très malveillantes. »
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Rox et Rocky
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Radjah Rouquin 2 matous, Rosie, la maman, Rose, Rosa ses chatons de 6 mois.
Raleur et Rania, Meli et Melo… la liste est longue.
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Mais il n’y a pas que les chats qu’elle recueille... Christine est connue maintenant, dans la région, alors on la sollicite, pour toutes sortes d’histoires…
Il y a cette dame, qui est venue chez elle, pour lui demander de mettre ses animaux à l’abri. 3 béliers, un bouc, et 2 cochons. La raison ? Cette a peur que son voisin les tue, pour se venger… Car elle l’a dénoncé auprès de la Fondation 30 Millions d’Amis. Il maltraitait ses propres animaux.
Il y a Giboulée, cette belle jument de 25 ans, « qui a perdu son maître et qui était en dépression. Je n’ai pu fermer mon cœur à cette pauvre bête qui présente une infirmité des pieds : pieds plats, qui nécessitent le maréchal ferrant tous les 3 mois. Heureusement, elle a trouvé un copain en Amigo, notre vieux cheval ravi de son arrivée. »
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Les chèvres, également… Biquette et ses deux chevreaux Rêveur et Rigolo, « des petites chèvres africaines très fugueuses. Elles s’échappaient toujours et le propriétaire ne pouvait plus les garder. »
Rani, une petite chèvre Alpine, trouvée dans les champs, « impossible de retrouver son propriétaire »
Et Elfy, une petite chienne âgée de 12 ans dont les maîtres sont décédés
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Elfy
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Heureusement, il y a quelques adoptions, également.
« Cette année, nous avons eu le bonheur de faire adopter 2 ponettes Nana et Zaza, malgré leur infirmité, 2 chèvres, 1 chien, Yoda.
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Le départ de Zaza avec son adoptante
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« N’ayant pas eu la possibilité de faire adopter nos 3 ânes Tessie, Orion et Polux, nous les avons confiés au Grand Refuge de la SPA qui nous a fait l’honneur de les prendre afin de s’en occuper ! »
200 animaux à faire vivre… une grande détresse financière
Financièrement, Christine est dans une grande détresse. Elle n’a plus de fonds propres. Tout est déjà parti pour les animaux.
« On m’a fait fermer les portes de la clinique vétérinaire avec laquelle je travaillais depuis tellement d’année… »
Il y a trop de dettes. Et il n’y plus de rentrée d’argent.
Chaque mois, il faut trouver environ 1 500 euros pour payer les frais vétérinaires, les médicaments, le maréchal ferrant, la paille, le foin, les copeaux, les litières pour les chats, les granulés… car il faut bien nourrir tout ce petit monde !
« Et je ne peux compter que sur les dons des personnes qui veulent bien m’aider. Car mon cœur, et ma porte ne peuvent rester fermés devant la détresse de ces pauvres chats dont personne ne veut.
Alors… C’est dans le plus profond désarroi que je m’adresse à nouveau à vous !!! He oui, que pouvons-nous faire sans Clic Animaux ? RIEN !
Alors, c’est pour ça que je viens à nouveau vers vous, encore et toujours : des frais vétérinaires énormes.
Alors « AU SECOURS », comme d’habitude, « AU SECOURS »
Mon rêve d’acheter des planches pour aménager cet endroit s’éloigne une fois encore. Ah, mon Dieu, quel malheur !!!
Ah, si j’étais RICHE, tous ces bonheurs je pourrais distribuer, malheureusement, l’Amour, la Bonté, la Compassion perpétuelle, ça ne paie pas… tout est là !
Alors, je vous le demande à genoux « PITIE POUR EUX TOUS » … Aidez cette pauvre femme…seule et en plus le confinement. »
En cette fin d'année, quel plus beau cadeau pourrait-on leur faire que de les aider ?
Nous avons que vous serez là pour eux.
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8 500 euros sont nécessaires pour cela.
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Vos dons et appels permettront de financer sa dette vétérinaire, les soins, et la nourriture nécessaire pour faire vitre ses protégés cette hiver.
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Merci, les clicoeurs !
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