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***** Des nouvelles de Kalypso 22 07 20 *****
Nous avons le plaisir de vous annoncer que Kalypso n’ira pas à l’abattoir !
Elle est désormais en sécurité et entre de bonnes mains
à l’association Les Crins de Django en Indre-et-Loire.
Au vu de son piteux état , elle a encore besoin de soins.
Elle se couche encore parfois notamment avec la chaleur qui la fatigue.
Mais elle mange bien et commence à se remettre debout.
C’est très encourageant !
L’association nous confie qu’elle est très câline.
Nous sommes si heureux pour elle.
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Kalypso provient de chez un marchand chez qui elle avait été mise à l’engraissement. Son avenir était tout tracé : l’abattoir puis la boucherie et enfin l’assiette.
L’association les Crins de Django est actuellement mobilisée pour la sauver, mais elle a besoin de votre aide.
Actuellement, Kalypso se trouve au refuge de l’association.
La pauvre a une histoire bien compliquée… Elle a été rachetée une première fois par une personne, qui s’est ensuite débarrassé d’elle, une fois qu’elle s’est rendue compte qu’elle était trop mal en point, et qu’elle allait générer trop de frais. C’est lors du transport de Kalipso vers cette propriétaire « éphèmère » que l’association de Pauline, qui se trouvait à proximité, a été contactée par le transporteur. Kalypso est trop mal en point, il fallait voir un vétérinaire en urgence.
Et maintenant, c’est le marchand qui, faute de paiement, menace de venir reprendre Kalypso dimanche et de la remettre dans le circuit de la viande.
Cette jument à la santé fragile ne mérite pas cela.
A son arrivée, Pauline, la présidente de l’association, n’a pu que constater le piteux état dans lequel se trouvait Kalypso.
« Elle était maigre, cadavérique et ne tenait plus sur ses pieds. »
A 22 ans, Kalypso est une jument comtoise qui a eu une vie bien rude. C’est un cheval de trait qui a le bassin abimé par l’attelage qu’elle avait sur le dos pendant des années. Elle n’est plus montable.
Lors de son transport, Kalypso n’a pas résisté et a chuté. Un vétérinaire est venu sur place lui administrer les premiers soins.
« Avec l’aide du vétérinaire et de trois hommes nous sommes parvenus à la sortir du camion après 2 bonnes heures d’efforts... Kalypso était à deux doigts de tout lâcher. Le vétérinaire a relancé son coeur et l’a hydratée. »
La pauvre Kalypso a manqué de soins toute sa vie. Une fois mise en sécurité à l’association, il a fallu tout reprendre.
« Depuis qu’elle est arrivée à l’association nous avons paré ses sabots, avons fait venir l’ostéopathe, l’avons vaccinée et avons dû faire un traitement contre la borréliose et les coliques. »
Kalypso est sur le long chemin de la guérison, elle a repris du poids et se bat pour vivre. Elle a encore besoin de soins et souffre d’ataxie. Elle ne tient pas sur ses jambes et passe de longues heures allongée.
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Ces nombreux soins génèrent de nombreuses factures vétérinaires qui pèsent sur l’association et Pauline n’en peut plus : « Les factures s’enchaînent mais on refuse de l’abandonner. Aidez-nous ! »
Mais malgré l’acharnement de l’association, la menace de l’abattoir pèse bel et bien sur Kalypso. Le marchand attend toujours le règlement de la jument... Sans quoi il reviendra la chercher et elle sera passée au couteau.
Nous devons la sauver d’ici dimanche.
Pauline est désespérée : « Nous ne pouvons pas laisser repartir Kalypso chez le marchand. Pire encore, nous savons qu’elle a passé une année aux champs avec des étalons, il y a donc de fortes chances qu’elle soit pleine. Ce serait un catastrophe car son état n’est pas compatible avec une gestation, son bassin ne supportera pas. Et voir partir pleine à l’abattoir est inimaginable. »
Il faut donc se mobiliser et tout faire pour que Kalypso ne reparte pas entre les mains du marchand. Son association a besoin de vous pour financer son rachat, son transport et ses soins.
Ensemble, nous pouvons la sauver et lui garantir une belle retraite.
Ensemble, nous devons y arriver.
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AnimauxMerci pour Kalypso !
