***** Des nouvelles de l'association 17 01 22 *****
"Grâce aux clicoeurs, les factures de foin ont été payés et Pauline va pouvoir acheter du foin pour l'hiver.
Tout comme le maréchal ferrant. Il a d'ailleurs pu revenir samedi dernier. Deux chevaux ont pu être placés dans de bonnes familles, ce qui nous a permis de sauver à nouveau des trotteurs.
Iberio va mieux, la plaie se referme progressivement.
Malheureusement Petit tonerre a fait une septicémie et est mort avant l’arrivée du vétérinaire. Cela a été vraiment très rapide, apparemment le cushing peut entraîner ce genre de chose … "
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« J’y ai mis tous mes fonds personnels…»
Il n'y a plus d'argent : toutes ses économies y sont passées...
La situation bancaire catastrophique est très dangereuse... interdiction bancaire ? Saisie des biens par un huissier ? Que se passera-t-il ? Que deviendraient les animaux ? Nous devons les aider avant qu'il ne soit trop tard !
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L'association les Crins de Django a ouvert ses portes en 2020. C'est Pauline qui en est présidente.
Depuis deux ans, elle a sauvé de nombreux animaux.
Aujourd'hui, elle partage le quotidien de 38 pensionnaires. Chevaux, chats, brebis ou encore cochons. Il y a de la place pour tout le monde.
Seulement voilà, cette année, les coups durs s'enchainent pour Pauline et son association. Des dépenses inattendues, élevées mais pourtant vitales pour ces pensionnaires.
C'est sans compter sur l'arrivée de l'hiver. Les chevaux ne peuvent plus se rendre dans les prés, il n'y a plus d'herbe dans les pâtures... Le foin et la paille doivent prendre le relais de l'herbe grasse et fraîche. Le problème, c'est que tout ça a un cout.
Jusqu'à 1500 euros. C'est ce que dépensent Pauline et son conjoint par mois pour leurs animaux. En hiver, la demande augmente et donc les prix avec.
Les parrainages et dons sont trop peu nombreux pour l'association.
Malgré la création d'une ferme pédagogique en mars dernier, Pauline n'arrive plus à payer les factures. Elle a besoin de notre aide.
Sa dévotion lui a valu bien des soucis. En effet, Pauline a investi son argent personnel pour prendre en charge les soins de ses chevaux. Aujourd'hui elle n'a plus rien. Sans aides, l'association pourrait fermer ses portes, laissant à l'abandon les 38 pensionnaires.
Parmi eux, beaucoup nécessitent des soins quotidiens et des traitements parfois très couteux.
Nous avons décidé de vous en présenter quelques-uns. Entrez dans le quotidien de Pauline à travers ces quelques histoires...
« Le vétérinaire nous a dit que ce n'était pas beau à voir »
Ibério est un trotteur de deux ans et demi.
Le pauvre a contracté la borréliose. Une tique s'accroche au cheval et injecte une toxine. Si ce n'est pas traité à temps, la maladie peut s'avérer mortelle.
Comme si ça ne suffisait pas, le pauvre s'est blessé deux fois à la même jambe. Cela peut vite créer une dégénérescence articulaire !
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La plaie est surinfectée. Il faut le soigner rapidement, pour éviter l’amputation.
Aujourd’hui la plaie semble dégonflée. Il reste néanmoins sous haute surveillance.
Il ne faut pas qu’il fasse une surinfection.
C’est pourquoi il doit prendre des antibiotiques ainsi que des anti-inflammatoires au quotidien.
Tonnerre a bien des malheurs…
Tonnerre est un cheval de 22 ans. Il a contracté le syndrome de Cushing. Cette maladie dégénérative et chronique touche particulièrement les chevaux âgés.
De plus, il est atteint de fourbure, une inflammation des pieds des chevaux. Très douloureuse, cette maladie doit être soignée rapidement avant que le cheval ne perde son sabot.
Mais cela ne s’arrête pas là.
Apres une visite chez le dentiste équin, le pauvre ne semble plus assimiler la nourriture. Il faut qu’il soit nourri uniquement de foin en brique.
Une alimentation spécifique qui représente un cout supplémentaire pour Pauline
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Ici vous pouvez voir que son pelage est hirsute et moins homogène. C’est un signe caractéristique d’une maladie de Cushing
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Estrella et Cautiva : il faut qu’elles mangent !
Ces deux petites juments ont été recueillies par Pauline. Elles avaient alors une vingtaine d’années. Les pauvres étaient atteintes de borréliose et puis de piroplasmose. Deux maladies provoquées par la morsure d’une tique. Les symptômes sont semblables : forte fièvre, anémie voire anorexie.
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Les photos sont plus que parlantes. Les deux juments avaient perdu beaucoup de poids…
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Estrella et Cautiva ont toutes les deux été mises sous traitement. Un traitement qui n’est pas sans risque pour le cheval. Il est extrêmement couteux.
Aujourd’hui, les deux petites sont traitées mais Cautiva se remet lentement.
Elle fait encore des crises de diarrhées. Pauline garde un œil sur les juments. Il faut qu’elles reprennent des forces, mais surtout, il faut qu’elles mangent !
« Où que tu sois, nous pensons à toi Lisette ! »
Lisette était une belle ânesse. Son propriétaire est malheureusement décédé. Quand elle a été recueillie par Pauline, la pauvre était grandement fourbue et atteinte de fourmilières. Il s’agit d’une infection profonde du sabot due à des bactéries ou champignons. Ils créent un espace entre encore la corne et le pied de l’animal.
Le temps passe, la pauvre peine à se mettre debout seule. Après une lutte acharnée, Pauline doit s’aider du tracteur de l’association pour lui venir en aide, et la relever.
Mais le tracteur tombe en panne deux fois de suite. Puis c’est la fourche qui rend l’âme…
Lisette n’avait plus la force de se battre. Elle n’arrivait pas à se révéler… Le vétérinaire a été appelé pour l’endormir. Il n’a pas eu le temps d’intervenir, elle s’est endormie seule… Elle avait l’air si paisible…
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Pleine de courage, Lisette n’en pouvait plus. Cette belle photo lui rend hommage !
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Un mal pour un bien
Mia été trouvée sur un toit. Pauline est persuadée qu’elle appartient à quelqu’un… Effectivement, cette petite chatte « appartient » bien à une femme, même si Mia n’est pas identifiée. Mais peu importe, Mia doit voir un vétérinaire, elle a contracté le coryza… Il lui fait un traitement. De plus, d’autres symptômes sont inquiétants.
Il faut faire des analyses de Mia, qui ont un coût. Un coût que la propriétaire refuse de payer. Elle préférera céder Mia à l’association. Se déchargeant de toute responsabilité.
L’état de santé de Mia se dégrade. C’est seulement après plusieurs analyses qu’on trouvera son problème. Elle a une grave infection urinaire. Maintenant il faut la soigner !
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Mia a été secourue par Pauline
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C’est un quotidien rythmé par les soins médicaux, les urgences, les soins apportés au quotidien…
Pauline s’occupe de 38 animaux… Il y a aussi :
Texas, Pépito et Bijou : ces trois chevaux sont atteints d’emphysème. Ils ont besoin de nébulisateurs pour respirer, ainsi que d'ampoules d’huiles essentielles.
« L’achat d’une machine coûte près de 700€. Nous avons la chance d’avoir un cheval en pension chez nous dont la propriétaire nous prête la sienne. Il faut quand même acheter les ampoules d’huiles essentielles. Et pour tous les chevaux ! Ça représente une énorme dépense hebdomadaire en plus. »
Beauty… le pauvre a besoin de son traitement pour son ulcère à l’estomac.
Maya, qui s’est fait mordre à la bouche par une vipère.
Index, ce trotteur qui a été pris sous l’aile d’une bénévole, qui était atteint de la piroplasmose.
Pile Poil, la brebis. Sa mère est morte d’un AVC. Son sevrage n’était pas terminé, elle se laissait mourir… Pumba, ce cochon noir du Périgord. Il a fallu lui faire un enclos tout neuf. « Un cochon, ça prend de la place et ça a besoin de BEAUCOUP d’espace »
Pauline s’est battue pour maintenir l’association à flot. Mais aujourd’hui, elle n’y arrive plus. Les vétérinaires s’impatientent, les marchands menacent de ne plus livrer de foin ni de paille. Elle a besoin de construire des abris pour les chevaux. Pour qu’ils puissent se mettre à l’abri.
Ayant investi de l’argent personnel, Pauline ne voit plus d’autres solutions…
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Elle a besoin de nous !
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C’est pour sauver ses animaux et son association qu’aujourd’hui, Pauline fait appel à nous.
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4 500 euros sont nécessaires pour cela !
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Vos dons et appels du cœur permettront de financer l’achat de foin, vital à l’approche de l’hiver, et d'abris pour les chevaux. Mais aussi, ils aideront à rembourser les dettes les plus urgentes pour éviter qu'elle se retrouve en faillite.
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Merci les Clicœurs !
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